Souvenir fut l’occasion de poursuivre mes travaux en matière d’instrumentation orchestrale, avec de nombreux pupitres remplissant peu à peu l’espace. J’en ai profité pour travailler sur les notions de tension et de point culminant avec une utilisation plus ponctuelle des cuivres et des percussions. Un embryon d’écriture verticale a pointé le bout de son nez durant la composition (qui peut s’entendre par l’utilisation de l’accord de sixte napolitaine), bien qu’elle reste principalement horizontale.
Un – ou plutôt plusieurs – clips ont été imaginés pour accompagner Souvenir. Leur réalisation en est encore au point mort (comme d’hab’).