Difficile de résumer ce bordélique départ de façon organisée… Pour commencer, nous sommes partis de Lyon avec Fab’. Clem, Marlène et Diane nous ont accompagné à l’aéroport : les deux dernières nous rejoindront en Nouvelle-Zélande la semaine suivante. Quand à Clem, je l’abandonne trois semaines avec un chat affamé en guise de souvenir.
N’étant point habitué à sortir de chez moi – ni même de mon pays – l’aéroport apporte sa dose de stress. Les au revoir sont tendus et expédiés, parce qu’il faut être sûr de pas rater l’avion quand même, sait-on jamais. Elles ont beau eu se moquer de moi exigeant 3h d’avance, à peine le temps de prendre un sandwich et nous voilà déjà dans l’avion au décollage, en route pour Dubaï avec un plateau repas. Bien que 6 heures de vol me paraissent énormes, les écrans individuels et repas/alcools constants s’accompagnant de siestes digestives font plutôt bien passer la pilule de l’inconfort et des jambes coincées. Rêvant de voir Dubaï depuis le ciel, je prends la place en hublot: ça promet d’être magnifique.